ELEKTRISK GØNNER

The 6 best videos of the week - STEREOGUM

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I wanted to go back to a certain wildness on stage" - NOVORAMA

I wanted to go back to a certain wildness on stage" - NOVORAMA

this weeks music monday features new dutch/french electro, glitch-hop artists elektrisk gØnner. its hard to place where they really sit genre wise, mixing electro synths and beats with hip-hop vocals and glitchy samples. quite possibly the most original sound i’ve heard in a long time. they’ve just released their self titled debut ep on platiumum records and the new single ‘uknowwhatiwant’ is out now along with a rather strange and totally nsfw video. links and tracks below enjoy. - I LOVE PIE

this weeks music monday features new dutch/french electro, glitch-hop artists elektrisk gØnner. its hard to place where they really sit genre wise, mixing electro synths and beats with hip-hop vocals and glitchy samples. quite possibly the most original sound i’ve heard in a long time. they’ve just released their self titled debut ep on platiumum records and the new single ‘uknowwhatiwant’ is out now along with a rather strange and totally nsfw video. links and tracks below enjoy. - I LOVE PIE

On arrive déjà au dernier concert de la soirée avec Elektrisk Gonner, nouveau projet Franco-Dannois d’un ex-Oslo Telescopic (excellent groupe qui avait fait un peu de bruit au début des années 2000 avec les participations de Dominique A et Olivier Mellano). Les trois types débarquent bien décidés à retourner le pôle étudiant, avec tous la même veste à capuche orange et des bandeaux noirs sur les yeux dessinés à même le visage.
Avec machines, guitare électrique et batterie électronique, ils nous envoient un furieux clash électro rock, dans une ambiance très fun. Le claviériste slamme plusieurs fois sur le public, des panneaux « Let’s Dance » et « Applause » circulent. On a même droit à un douteux « Show your Boobs« , pendant que la vidéo diffuse des images de dizaines de filles qui enlèvent le haut…Une excellente prestation entre big beat, guitare saturée, dance et fun ! - FADER PAPER

On arrive déjà au dernier concert de la soirée avec Elektrisk Gonner, nouveau projet Franco-Dannois d’un ex-Oslo Telescopic (excellent groupe qui avait fait un peu de bruit au début des années 2000 avec les participations de Dominique A et Olivier Mellano). Les trois types débarquent bien décidés à retourner le pôle étudiant, avec tous la même veste à capuche orange et des bandeaux noirs sur les yeux dessinés à même le visage.
Avec machines, guitare électrique et batterie électronique, ils nous envoient un furieux clash électro rock, dans une ambiance très fun. Le claviériste slamme plusieurs fois sur le public, des panneaux « Let’s Dance » et « Applause » circulent. On a même droit à un douteux « Show your Boobs« , pendant que la vidéo diffuse des images de dizaines de filles qui enlèvent le haut…Une excellente prestation entre big beat, guitare saturée, dance et fun ! - FADER PAPER

Du son inclassable, parfois stressant, mais juste comme il faut, un son différent, un peu bizarre, avec comme un air de !!! (tchick tchick tchick), sur lequel on a tendance à se laisser bouger
- ELECTRO SISTERS

Du son inclassable, parfois stressant, mais juste comme il faut, un son différent, un peu bizarre, avec comme un air de !!! (tchick tchick tchick), sur lequel on a tendance à se laisser bouger
- ELECTRO SISTERS

Lorsqu’un groupe met tant d’entrain à brouiller les pistes (nom scandinave, biographie foireuse, esthétique basée sur la couleur orange version taulard US), respectons son désir de ne pas dévoiler entièrement le mystère. Le seul élément concret concernant Elektrisk Gønner est l’identité du frontman : Benjamin Gonner, un Franco-Canadien déjà croisé sous le pseudonyme de Løzninger ou au sein d’Oslø Telescopic. Un type qui aime donc barrer les o… « Yer fire », c’est 13 titres d’électro-rock sous stéroïdes. Les morceaux « Uknowhatiwant » ou « Machine gun » semblent pré-calibrés pour le dancefloor. D’ailleurs, bien qu’encore relativement confidentiel, le groupe s’est déjà taillé une réputation de bête de scène. Finalement, qu’importe de savoir le signe astral du batteur ou pourquoi ce choix d’un nom à consonance IKEA ; Elektrisk Gønner réussit à faire danser les oreilles et les foules, parfait. - LONGUEUR D'ONDES

Lorsqu’un groupe met tant d’entrain à brouiller les pistes (nom scandinave, biographie foireuse, esthétique basée sur la couleur orange version taulard US), respectons son désir de ne pas dévoiler entièrement le mystère. Le seul élément concret concernant Elektrisk Gønner est l’identité du frontman : Benjamin Gonner, un Franco-Canadien déjà croisé sous le pseudonyme de Løzninger ou au sein d’Oslø Telescopic. Un type qui aime donc barrer les o… « Yer fire », c’est 13 titres d’électro-rock sous stéroïdes. Les morceaux « Uknowhatiwant » ou « Machine gun » semblent pré-calibrés pour le dancefloor. D’ailleurs, bien qu’encore relativement confidentiel, le groupe s’est déjà taillé une réputation de bête de scène. Finalement, qu’importe de savoir le signe astral du batteur ou pourquoi ce choix d’un nom à consonance IKEA ; Elektrisk Gønner réussit à faire danser les oreilles et les foules, parfait. - LONGUEUR D'ONDES

Approach Influenza as a series which serves to offer insight into the birth of a song; these are the thoughts, influences and the inspirations directly from the mind of the artists. - CULTURE BULLY

Approach Influenza as a series which serves to offer insight into the birth of a song; these are the thoughts, influences and the inspirations directly from the mind of the artists. - CULTURE BULLY

Si les membres d’Elektrisk Gonner avaient des supers pouvoirs, ils auraient sûrement le don de contrôler l’électricité. A l’écoute de ce disque vous allez ainsi découvrir à quel point vos oreilles sont conductrices et prendre une grosse décharge électrique. Je conseille donc de vous écarter du tableau général électrique sous peine de tout faire exploser. A la tête de cette équipe de supers héros, il y a Benjamin Gonner qui s’est lancé dans cette nouvelle aventure après avoir fait partie d’Oslo Telescopic et de Lozninger. Derrière lui quatre lascars masqués dont une voix féminine qui vient le suppléer sur quelques titres.

Leurs compositions sont très colorées à l’image de leur vêtements ou de leur pochette de disque, et complètement déjantées. Partant d’une base électro rock, la formation n’hésite pas visiter la soul ou le hip hop pour donner de nouvelles teintes à leurs mélodies. Et ça ne manque pas de contraste à commencer par ce hip hop lent et langoureux qui se transforme en électro funkie (« WJ :WD »), le très métallique « Radio Killer » qui fait penser à du Prodigy ou l’instrumental hommage à sa ville natale « Toronto for Better or Worse ». Ajoutez à cela des sonorités acides, des voix électroniques, des rythmes fous et vous avez une nouvelle production Platinum Records qui ne manque pas de piquant.
- ROOM72

Si les membres d’Elektrisk Gonner avaient des supers pouvoirs, ils auraient sûrement le don de contrôler l’électricité. A l’écoute de ce disque vous allez ainsi découvrir à quel point vos oreilles sont conductrices et prendre une grosse décharge électrique. Je conseille donc de vous écarter du tableau général électrique sous peine de tout faire exploser. A la tête de cette équipe de supers héros, il y a Benjamin Gonner qui s’est lancé dans cette nouvelle aventure après avoir fait partie d’Oslo Telescopic et de Lozninger. Derrière lui quatre lascars masqués dont une voix féminine qui vient le suppléer sur quelques titres.

Leurs compositions sont très colorées à l’image de leur vêtements ou de leur pochette de disque, et complètement déjantées. Partant d’une base électro rock, la formation n’hésite pas visiter la soul ou le hip hop pour donner de nouvelles teintes à leurs mélodies. Et ça ne manque pas de contraste à commencer par ce hip hop lent et langoureux qui se transforme en électro funkie (« WJ :WD »), le très métallique « Radio Killer » qui fait penser à du Prodigy ou l’instrumental hommage à sa ville natale « Toronto for Better or Worse ». Ajoutez à cela des sonorités acides, des voix électroniques, des rythmes fous et vous avez une nouvelle production Platinum Records qui ne manque pas de piquant.
- ROOM72

Le label Platinum rime souvent avec sorties rock alternatives foutraques, qu’il s’agisse de Rubin Steiner ou de Président Chirac. Ici, pas question de déroger à la règle avec cet album du canadien Elektrisk Gønner. Originaire de Toronto, Benjamin a grandi en France, entouré de parents mordus de musique. Du coup, quand on a un père guitariste dans un groupe de punk obscur, et une mère qui chante et joue du ukulélé dans un folk-band psychédélique, on renie l’héritage parental ou on laisse faire les gènes. Le fiston a coché la deuxième solution, et se lance aujourd’hui dans un projet solo après s’être fait la main dans plusieurs groupes tels que Oslo Telescopic ou Lozninger. Pour lancer les hostilités, le hip-hop nonchalant de « WJ:WD » vire techno sans prévenir, et embraye sur « Panoramic Targets », où Benjamin étouffe son chant pour un rendu à la fois sale et organique sur des arrangements qui semblent avancer à reculons. Très personnel, « Yer Fire » touche ainsi à tous les genres en les poussant sur une piste de danse au parquet que les bières renversées ont rendu collant. Alors, il rappelle la désinvolte Uffie sur « Uknwowhatiwant » aussi cul que dynamique, ou les français de Rinoçérôse sur un « Machine Gun » au groove caractéristique. Du coup, Elektrisk Gønner n’a rien de suédois, et préfère produire des chansons aux antipodes de ce qui nous vient généralement du froid, comme la ligne de basse langoureuse et hypnotique de « Gotta Trick Me », ou le rock’n roll saturé de « Radio Killer » qui déplaira à vos enceintes. Aussi, il se permet un faux discours politique non-sens avec « Entre Poésie Et Effroi », faisant suite au mini-hommage à sa ville natale qu’est « Toronto For Better Or Worse » sur fond de cordes hantées et de batterie séchement énervée. L’excellent travail de défrichage entreprit par Platinum se poursuit donc dans l’excellence. - MOWNO

Le label Platinum rime souvent avec sorties rock alternatives foutraques, qu’il s’agisse de Rubin Steiner ou de Président Chirac. Ici, pas question de déroger à la règle avec cet album du canadien Elektrisk Gønner. Originaire de Toronto, Benjamin a grandi en France, entouré de parents mordus de musique. Du coup, quand on a un père guitariste dans un groupe de punk obscur, et une mère qui chante et joue du ukulélé dans un folk-band psychédélique, on renie l’héritage parental ou on laisse faire les gènes. Le fiston a coché la deuxième solution, et se lance aujourd’hui dans un projet solo après s’être fait la main dans plusieurs groupes tels que Oslo Telescopic ou Lozninger. Pour lancer les hostilités, le hip-hop nonchalant de « WJ:WD » vire techno sans prévenir, et embraye sur « Panoramic Targets », où Benjamin étouffe son chant pour un rendu à la fois sale et organique sur des arrangements qui semblent avancer à reculons. Très personnel, « Yer Fire » touche ainsi à tous les genres en les poussant sur une piste de danse au parquet que les bières renversées ont rendu collant. Alors, il rappelle la désinvolte Uffie sur « Uknwowhatiwant » aussi cul que dynamique, ou les français de Rinoçérôse sur un « Machine Gun » au groove caractéristique. Du coup, Elektrisk Gønner n’a rien de suédois, et préfère produire des chansons aux antipodes de ce qui nous vient généralement du froid, comme la ligne de basse langoureuse et hypnotique de « Gotta Trick Me », ou le rock’n roll saturé de « Radio Killer » qui déplaira à vos enceintes. Aussi, il se permet un faux discours politique non-sens avec « Entre Poésie Et Effroi », faisant suite au mini-hommage à sa ville natale qu’est « Toronto For Better Or Worse » sur fond de cordes hantées et de batterie séchement énervée. L’excellent travail de défrichage entreprit par Platinum se poursuit donc dans l’excellence. - MOWNO

Got a great new project sent to in my inbox from Denmark/French artists called Elektrisk Gonner. They are a mixture of a bunch of different genres :: electro, pop, rock, hip hop, noise which makes them hard to categorize, but one thing's for sure, they are excellent! They recently released their self titled debut EP (see the amazing art work for it above) on Platinum Records which features two tracks "Adam Knows" and "Panoramic Targets" with remixes by Bikini Machine and Bumblebeez. Their debut album 'Yer Fire' is not too far behind scheduled for release in May. They have a crazy video for "UKNOWHATIWANT" from their upcoming album that features one of my favorite things, boobies! Lots and lots of them in all shapes and sizes. I think almost everyone enjoys those or at least can appreciate them. The track is an uber catchy hyper active indie dance jam featuring Peaches style electric guitar riffs. They've been kind enough to send the EP our way for our readers downloading pleasure. Good news for us! Check out the goods, literally.
- OFF THE RADAR

Got a great new project sent to in my inbox from Denmark/French artists called Elektrisk Gonner. They are a mixture of a bunch of different genres :: electro, pop, rock, hip hop, noise which makes them hard to categorize, but one thing's for sure, they are excellent! They recently released their self titled debut EP (see the amazing art work for it above) on Platinum Records which features two tracks "Adam Knows" and "Panoramic Targets" with remixes by Bikini Machine and Bumblebeez. Their debut album 'Yer Fire' is not too far behind scheduled for release in May. They have a crazy video for "UKNOWHATIWANT" from their upcoming album that features one of my favorite things, boobies! Lots and lots of them in all shapes and sizes. I think almost everyone enjoys those or at least can appreciate them. The track is an uber catchy hyper active indie dance jam featuring Peaches style electric guitar riffs. They've been kind enough to send the EP our way for our readers downloading pleasure. Good news for us! Check out the goods, literally.
- OFF THE RADAR

Inutile de chercher la moindre faiblesse: les riffs détournés de Tokyo's burning, son chant enjôleur et sa cadence appuyée font mouche à leur tour, de même que Adam roadtrip, d'esprit lui aussi rock, un tantinet plus haché mais aussi décisif, que des sons acides viennent "décorer". C'est cette fois l'organe masculin qui se distingue dans un premier temps, avant d'être rejoint par son semblable "fille". Entre pop, rock et electro, les trois habilement cimentés, ce morceau met fin à un album de haute volée, qui valide la fiabilité de Platinum et sa dizaine de groupes aussi valeureux les uns que les autres, et dans le cas présent, d'un Elektrisk Gonner au meilleur de sa forme. - MUZZART

Inutile de chercher la moindre faiblesse: les riffs détournés de Tokyo's burning, son chant enjôleur et sa cadence appuyée font mouche à leur tour, de même que Adam roadtrip, d'esprit lui aussi rock, un tantinet plus haché mais aussi décisif, que des sons acides viennent "décorer". C'est cette fois l'organe masculin qui se distingue dans un premier temps, avant d'être rejoint par son semblable "fille". Entre pop, rock et electro, les trois habilement cimentés, ce morceau met fin à un album de haute volée, qui valide la fiabilité de Platinum et sa dizaine de groupes aussi valeureux les uns que les autres, et dans le cas présent, d'un Elektrisk Gonner au meilleur de sa forme. - MUZZART

UKNOWHATIWANT - RADIO NEO

UKNOWHATIWANT - RADIO NEO

Electrisk Gonner clôt la soirée. Ils sont tous habillés de la même façon : sweat orange, pantalon noir, baskets identiques et maquillage en guise de masque. Un vrai uniforme de super héros en bref. Ils débutent devant une salle quasi vide, une bonne partie ayant fuit à l’exterieur par instinct de survie auditive. Les quelques spectateurs déjà installés suivent le mouvement lancé par Benjamin, le chanteur, et tapent dans les mains. Leur style est difficilement définissable, entre pop, hip-hop et electro. Ça bouge carrément, les mecs s’éclatent sur scène. On pourrait dire que c’est un mélange de Cansei de Ser Sexy et d’Hypercrush, avec une pointe de Passion Pit. Ça saute partout. Le chanteur slamme. Un panneau “Let’s Dance Now” se promène sur scène puis dans le public, porté par une fille arborant le même costume. On note que les voix féminines sont faites par un membre du groupe qui remplace la chanteuse malade. Benjamin sort un pistolet à paillettes et tire sur le public avant d’entamer un nouveau slam. Le panneau à message fait son retour, affichant désormais un “Show Your Boobs”. C’est ainsi qu’est introduit le titre “Uknowwhatiwant” et la diffusion du clip mettant en scène un “boob-casting”. Le panneau “Applause” passe et annonce la fin. - BITCH LE MAGAZINE

Electrisk Gonner clôt la soirée. Ils sont tous habillés de la même façon : sweat orange, pantalon noir, baskets identiques et maquillage en guise de masque. Un vrai uniforme de super héros en bref. Ils débutent devant une salle quasi vide, une bonne partie ayant fuit à l’exterieur par instinct de survie auditive. Les quelques spectateurs déjà installés suivent le mouvement lancé par Benjamin, le chanteur, et tapent dans les mains. Leur style est difficilement définissable, entre pop, hip-hop et electro. Ça bouge carrément, les mecs s’éclatent sur scène. On pourrait dire que c’est un mélange de Cansei de Ser Sexy et d’Hypercrush, avec une pointe de Passion Pit. Ça saute partout. Le chanteur slamme. Un panneau “Let’s Dance Now” se promène sur scène puis dans le public, porté par une fille arborant le même costume. On note que les voix féminines sont faites par un membre du groupe qui remplace la chanteuse malade. Benjamin sort un pistolet à paillettes et tire sur le public avant d’entamer un nouveau slam. Le panneau à message fait son retour, affichant désormais un “Show Your Boobs”. C’est ainsi qu’est introduit le titre “Uknowwhatiwant” et la diffusion du clip mettant en scène un “boob-casting”. Le panneau “Applause” passe et annonce la fin. - BITCH LE MAGAZINE

Zapping - GO MAG

Zapping - GO MAG

According to myspace, Elektrisk Gonner is playing an electronic music and come from
Barcelona, though they don't lool that spanish and they dress in orange. We
went to their first show Friday night at La Vapeur part of Kill Your Pop festival, and the big question is how much of liters of sweat were recovered after their passage. Because talking of a "big energy" on stage is not enough. Blending pop and electronica, these boys are very mad and invite girls to show their boobs. For that alone we want to 10/10 at the service. More seriously, they have managed to entertain the audience way more than the following 'big' band Ponix Hoax, so the mark maximum is deserved. We wish them good road. - SPARSE.FR

According to myspace, Elektrisk Gonner is playing an electronic music and come from
Barcelona, though they don't lool that spanish and they dress in orange. We
went to their first show Friday night at La Vapeur part of Kill Your Pop festival, and the big question is how much of liters of sweat were recovered after their passage. Because talking of a "big energy" on stage is not enough. Blending pop and electronica, these boys are very mad and invite girls to show their boobs. For that alone we want to 10/10 at the service. More seriously, they have managed to entertain the audience way more than the following 'big' band Ponix Hoax, so the mark maximum is deserved. We wish them good road. - SPARSE.FR

Let's see Elektrisk Gonner at the club Deville. Based in Dijon, the leader
is not unknown at all, since he was part of the masked duo Oslo Telescopic (hence the mania of putting ø everywhere). Onstage, the musicians have their faces blocked by a coat of paint black dripping in the heat, and are dressed in orange hoodies that make them resemble to cons hip-hop. The show is very
worked and instantaneous: the uniforms, the music that the speech
public constantly, carrier panels stolen from the shows
catch (but dressed as a stewardess). There's always a
trick and madness aggressively assert their group should quickly get the
favors of venues and festivals. - LIBÉRATION

Let's see Elektrisk Gonner at the club Deville. Based in Dijon, the leader
is not unknown at all, since he was part of the masked duo Oslo Telescopic (hence the mania of putting ø everywhere). Onstage, the musicians have their faces blocked by a coat of paint black dripping in the heat, and are dressed in orange hoodies that make them resemble to cons hip-hop. The show is very
worked and instantaneous: the uniforms, the music that the speech
public constantly, carrier panels stolen from the shows
catch (but dressed as a stewardess). There's always a
trick and madness aggressively assert their group should quickly get the
favors of venues and festivals. - LIBÉRATION

BEST VIDEO OF THE WEEK - LES INROCKUPTIBLES

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Possibly the breast video in the world. - WE HEART MUSIC

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